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COP26 : Dernier espoir pour le monde ?

Le 1er novembre 2021 a entamé le début de la COP26 à Glasgow. Durant 2 semaines, de nombreux chefs d’États, diplomates, représentants d’ONG et PDG de grandes entreprises seront réunis afin de discuter de nouvelles mesures à prendre afin de résoudre le problème qu’est le réchauffement climatique.



Les critiques et les appels à agir se sont multipliés ces dernières années : Greta Thunberg, rapport du GIEC et même l’IPCC. Malgré des engagements de grande envergure annoncés après la COP21 de Paris, l’objectif de limiter la montée de la température à 1,5 degré semble désormais quasiment impossible. Après une COP26 annulée à cause de la crise sanitaire en 2020, cette dernière semble désormais être le dernier recours afin de trouver une solution internationale. Mais avec plusieurs intérêts divergents, les représentants de la sphère publique et privée peuvent-ils trouver un accord après tant d’années de promesses non respectées ?


Un début concernant à cause d’un G20 peu convaincant


La COP26, repoussée d’un an, était attendue afin de continuer les efforts commencés après la COP21 de Paris. Cependant, cette dernière était précédée par le G20 à Rome. Si les 20 chefs d’États avaient de nombreux sujets de contention, le reste du monde espérait que cette réunion permettrait de commencer les discussions concernant le réchauffement climatique. En effet, le G20 représentant les 20 nations les plus influentes dans le monde, un accord avant le début de la COP26 aurait permis de montrer un exemple au monde entier.


Si l’occasion semblait être parfaite, les multiples nations n’ont pu se mettre d’accord que sur le fait qu’il fallait limiter la hausse de la température à 1,5 degré, sans réel engagement. Le président américain Biden a d’ailleurs critiqué l’inactivité de la Russie et de la Chine, les déclarant responsables pour ce manque d’actions concrètes.


Un manque d’action des plus grandes nations